ONUSIDA : l'exclusion et la stigmatisation des toxicomanes dans la prévention du VIH sont toujours largement répandues
Malgré un engagement politique et un financement accrus pour la riposte au sida, la plupart des personnes qui s'injectent des drogues se voient toujours refuser l'accès à des services de base pour la prévention et le traitement du VIH, a annoncé le Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) lors de la 18e Conférence sur la réduction des risques liés aux drogues qui se tient en Pologne.