Reportages

En 2024, l’ONU se tiendra une fois de plus au cœur des efforts internationaux visant à relever les défis mondiaux les plus urgents, qu’il s’agisse de soutenir l’économie mondiale, l’action climatique ou de maintenir la paix. Sans pouvoir prédire ce qui fera la une des journaux, il est déjà certain que l'ONU utilisera son pouvoir de mobilisation sans pareil pour rassembler les dirigeants et les décideurs pour rendre le monde plus pacifique et équitable.

Treize villages et une coalition de groupes armés : le Nduma Defense of Congo (NDC), du tristement célèbre chef de guerre Ntabo Ntaberi, dit « Sheka ». Tel est le décor du drame survenu en 2010 dans les territoires de Walikale et de Masisi, au Nord-Kivu, dans l'est de la République démocratique du Congo.

Le déclenchement du conflit il y a sept mois au Soudan a conduit à « la convergence d'une calamité humanitaire qui s'aggrave et d'une crise catastrophique des droits humains », la région agitée du Darfour étant particulièrement durement touchée, selon un haut responsable de l'ONU.

Les missions de maintien de la paix de l’ONU en Afrique subsaharienne opèrent dans des conditions politiques et sécuritaires plus difficiles en raison d’une multiplication des crises et d’un « climat de division » entre les États membres, notamment au Conseil de sécurité. C’est ce qu'affirme le chef des opérations de maintien de la paix de l’ONU, Jean-Pierre Lacroix.

La militante congolaise Julienne Lusenge, une des lauréates du Prix des droits de l’homme de l’ONU 2023, aimerait créer dans son pays, la République démocratique du Congo, « un monde harmonieux où les hommes et les femmes se respectent ». 

Quand Johan, alias @lejeuneengagé, a annoncé sur son compte Instagram qu’il participait à la COP28 à Dubaï, les réactions ont été parfois violentes : « On se dit écolo mais on prend l’avion ! » « Un donneur de leçon nous fait un aller-retour à Dubaï ». Pourtant pour aller à la COP, Johan n’a pas pris l’avion.

Dans la mythologie grecque, les Amazones, un peuple dirigé par de courageuses guerrières, se distinguaient par leur force et leur habileté à manier l'arc et les flèches, remportant d'importantes victoires sur des armées masculines.

L'expression des visages à Gaza révèle « le traumatisme, le stress, comme si le chagrin et la tristesse avaient pris racine ici à Gaza », selon James Elder, le porte-parole du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) qui a participé à l'effort d'aide dans l'enclave assiégée.

Un Ougandais, employé comme agent de santé dans un village, a expliqué à l'ONU combien il est important que les hommes et les garçons jouent un rôle dans l'élimination de la violence basée sur le genre afin d'améliorer la situation dans leurs communautés.

Au soir d’une vie « pleine de douleur », une Ougandaise souffrant d’un handicap physique a appris à défendre ses droits à la terre grâce à un programme soutenu par l’ONU.