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Des heures de travail réduites ainsi que des aménagements plus flexibles en matière de temps de travail, comme ceux auxquels on a eu recours pendant la crise de la COVID-19, peuvent être favorables à la fois à l’économie, aux entreprises et aux travailleurs et jeter les bases d’un équilibre meilleur et plus sain entre vie professionnelle et vie privée, selon un nouveau rapport de l’Organisation internationale du Travail.

Ce fut une journée pas comme les autres pour l'unité des visites guidées des Nations Unies.

Une demande de la fondation Make-A-Wish pour que Kaloenic Ilac, dit ‘Kale’, un garçon de 16 ans originaire de Californie, puisse venir à l'ONU parce que son rêve est de devenir diplomate, a permis à l'ONU d'organiser une journée mémorable pour cet adolescent et sa famille.

Non seulement une visite guidée lui a été offerte mais aussi cette visite a donné à Kale l'occasion de rencontrer des membres du personnel et des diplomates de haut niveau.

L'augmentation rapide de 10 degrés Celsius de la température dans de grandes parties de l'Europe avant Noël a été brutale, mais elle pourrait être le signe des choses à venir, a déclaré l'Organisation météorologique mondiale (OMM).

Dans un entretien accordé à Daniel Johnson, d'ONU Info Genève, Cyrille Honoré, chef du Service de la réduction des risques de catastrophes des Nations Unies, explique les raisons scientifiques qui sont à l'origine des phénomènes météorologiques inhabituels en Europe et ailleurs.

Accorder davantage de flexibilité aux travailleurs concernant la manière dont ils travaillent, de l’endroit et du moment où ils travaillent, et la réduction des heures de travail peuvent s’avérer positifs à la fois pour les travailleurs et pour les entreprises. C’est ce qu’affirme un nouveau rapport de l’Organisation internationale du Travail sur la question, publié ce vendredi et qui porte sur 160 pays.

Ces aménagements entrainent notamment une amélioration de la productivité ainsi que l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée.

Une unité de la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris vient de rentrer du sud du Liban où elle a accompli une mission de 4 mois au sein de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban, la FINUL.

Le Conseil de sécurité a examiné vendredi la situation en République démocratique du Congo. La Représentante spéciale du Secrétaire général dans ce pays, Bintou Keita, qui est aussi cheffe de la Mission des Nations Unies dans ce pays (MONUSCO), a présenté le rapport du Secrétaire général.

Dans un entretien accordé à ONU Info avant cette réunion, elle a abordé la question des élections présidentielle et législatives qui se dérouleront en 2023 et comment la MONUSCO appuie le processus électoral.

La Journée de lutte contre le sida est célébrée chaque année le 1er décembre.

À l’occasion de cette journée, l’ONU invite chacune et chacun d’entre nous à lutter contre les inégalités qui freinent les progrès pour mettre fin au sida.

Au micro d’Alpha Diallo à Genève, Fodé Simaga, Directeur du département science, systèmes et services pour tous à l'ONUSIDA, fait le point sur l’état de la maladie dans le monde. Il estime que les progrès enregistrés ne sont pas suffisants. 

Le Directeur général de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), António Vitorino, a participé au neuvième Forum mondial de l'Alliance des civilisations des Nations Unies (UNAOC), qui s'est déroulé les 22 et 23 novembre dans la ville marocaine de Fès.

Alors que le forum a mis l'accent sur les valeurs de dialogue et de tolérance, le chef de l'OIM a souligné, dans un entretien accordé à May Yaacoub d'ONU Info, qu'il fallait répondre aux besoins des migrants, notamment lutter contre leur stigmatisation.

Le neuvième Forum mondial de l'Alliance des civilisations des Nations Unies (UNAOC) a lieu dans la ville historique de Fès, au Maroc, les 22 et 23 novembre 2022. C’est la première fois que ce forum se réunit sur le continent africain. 

A la Conférence des Nations Unies sur le climat, la COP27, qui se déroule à Charm El-Cheikh, en Egypte, les négociations entre les Etats parties ont débuté cette semaine.

La question des « pertes et dommages » est un des principaux thèmes de discussions. Ces « pertes et dommages » font référence aux coûts encourus par les pays qui ont le moins contribué au changement climatique, mais qui supportent le poids de ses impacts, tels que les phénomènes météorologiques extrêmes de plus en plus fréquents.