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Face à la pandémie du nouveau coronavirus, la Conférence des Nations Unies pour le commerce et le développement (CNUCED) plaide pour le maintien des flux de navires, l’ouverture des ports et la fluidité du commerce transfrontalier. 

En effet, le transport maritime joue un rôle essentiel dans la réponse au Covid-19 et les restrictions au commerce et au transport transfrontalier peuvent interrompre l’aide et le soutien technique nécessaires.

En ces temps de confinement et de multiplication de fermeture des frontières dans différents pays à cause de la pandémie de Covid-19, la Commission économique des Nations Unies pour l’Europe (UNECE) appelle à faciliter autant que possible la circulation des marchandises aussi bien traditionnelles que dangereuses.

Depuis lundi, elle a mis en place un Observatoire sur le statut des postes frontaliers. Il rassemble toutes les informations concernant les limitations de passage des frontières en raison du Covid-19.

La pandémie de Covid-2019 a également un impact économique. Le tourisme est actuellement l’un des secteurs les plus touchés, alors que des restrictions sur les voyages sont en train d’être mises en place.

L’Organisation mondiale du tourisme (OMT) a renforcé sa collaboration avec l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour mettre en œuvre une action concertée. 

Le secteur du tourisme s’engage à faire passer en premier la population et son bien-être. 

Des centaines de millions d’enfants se retrouvent affectés par la fermeture des écoles, leurs routines sont perturbées, et les informations sur le virus et la manière de s’en protéger peuvent être fortement angoissantes.

L’UNICEF (Fonds des Nations Unies pour l’enfance) apporte des informations fiables ainsi que des conseils sur comment parler aux enfants de la pandémie.

Pour en savoir plus, ONU Info a joint Najwa Mekki, qui est la cheffe relations avec les médias à l’UNICEF.

Les Nations Unies s’inquiètent du sort des 100 millions de personnes qui se trouvent dans des zones de guerre et sont confrontées à des risques extrêmes liés à la pandémie de Covid-19.

Au micro d’Alpha Diallo à Genève, un porte-parole de la branche humanitaire de l’ONU (OCHA), Jens Laerke, explique combien il est important de continuer à apporter une assistance à ces personnes, en particulier en Syrie et au Yémen.

Face à la pandémie de Covid-19, le Programme alimentaire mondial (PAM) est prêt à mettre son expertise et ses infrastructures au service de la réponse mondiale. Elle apporte déjà un soutien en aidant l’OMS, l’Organisation mondiale de la santé avec le transport de certains matériels.

Il ne faut pas attendre que l’épidémie arrive pour se préparer.

C’est le message qu’a lancé ce mercredi l’Organisation mondiale de la santé à l’intention des pays africains.  

L’Afrique est encore peu touchée par l’épidémie de Covid-19, avec 446 cas confirmés, répartis dans 30 de ses 54 pays.

L’OMS souligne que le virus peut se transmettre dans des climats chaud et humides.

Alors que sept personnes ont été diagnostiquées positives au nouveau coronavirus en République démocratique du Congo (RDC), l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le gouvernement congolais pensent que l’expérience acquise dans la lutte contre la fièvre hémorragique Ebola pourrait les aider.

Face aux mesures prises par différents pays pour prévenir et répondre à la pandémie de Covid-19, l’Agence de l’ONU pour les réfugiés, le HCR, a rappelé ce mardi l’urgence de protéger les populations vulnérables et d’inclure les réfugiés dans les plans de réponse.

Au micro d’Alpha Diallo,  Cécile Pouilly, porte-parole du HCR à Genève, explique comment l’agence se mobilise.

Un an après que le cyclone Idai ait dévasté une grande partie du centre du Mozambique, un financement limité pour la reconstruction empêche de nombreuses personnes de se remettre sur pied.

C’est ce qu’indique, Le PAM, le Programme alimentaire mondial. Le mois dernier le manque de fonds a contraint l’agence à réduire de moitié ses rations alimentaires et cet appui vital risque d’être complètement interrompu à moins qu’il ne reçoive bientôt des fonds.

Explications d’Elisabeth Byrs, porte-parole du PAM