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Moyen-Orient

Des bébés sont transférés de l'hôpital Al-Shifa, au nord de Gaza, vers le sud de l'enclave.
© UNICEF/Eyad El Baba

Gaza : l'ONU met en garde contre une hausse tragique du nombre de décès d’enfants

Une augmentation « tragique » et « entièrement évitable » des décès d'enfants est attendue à Gaza, ont averti mardi les agences humanitaires de l'ONU, après six semaines de bombardements aériens par les forces israéliennes en réponse aux attaques sanglantes du Hamas du 7 octobre en Israël qui ont fait 1.200 morts et retenu 240 personnes en otage.

De l'aide est livrée au camp de réfugiés de Khan Younis à Gaza.
© WHO

A Gaza, l’UNRWA reçoit enfin du carburant pour ses opérations humanitaires mais a besoin de plus

Après de longues semaines d’attente, les autorités israéliennes ont approuvé la livraison de carburant pour les opérations humanitaires de la principale agence onusienne opérant à Gaza, l’UNRWA, mais l’autorisation ne concerne que la moitié des besoins quotidiens minimum en carburant pour ces opérations humanitaires, a indiqué samedi le chef de l’UNRWA.

Des secouristes palestiniens fouillent les décombres d'un bâtiment à la suite d'une frappe aérienne dans la bande de Gaza (photo d'archives).
OMS

A Gaza, les « besoins infinis » reflètent une situation qui s’aggrave avec la fermeture d'hôpitaux, prévient l’OMS

L’agence de santé des Nations Unies, l’OMS, a lancé vendredi un nouvel avertissement sur la situation désespérée de la population de Gaza, le nombre d’installations médicales opérationnelles étant « clairement insuffisant pour répondre aux besoins infinis » créés par plus de cinq semaines d’hostilités.

Volker Türk, Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, s'adresse aux médias à Genève.
UN Geneva/Daniel Johnson

Gaza : Türk de l’ONU appelle à une voie politique pour sortir de « l’horreur »

Le chef des droits de l'homme de l'ONU, Volker Türk, a salué jeudi l'appel du Conseil de sécurité à une pause dans les combats à Gaza, où « les médecins opèrent des enfants qui crient sans anesthésie, en utilisant des téléphones portables pour s'éclairer », avant d'appeler directement les parties belligérantes à déposer les armes.