Un jeune travailleur communautaire haïtien décrit comment des années de violence des gangs, d’enlèvements et d’insécurité dans la capitale du pays, Port-au-Prince, l'ont épuisé, même s'il est déterminé à continuer à se battre pour un avenir meilleur.
Près de 40 étudiants sénégalais de l'université se sont rassemblés au Centre d'information des Nations Unies à Dakar, au Sénégal, le 24 avril pour commémorer les victimes de l'esclavage et de la traite transatlantique des esclaves.
L'île de la Dominique, dans les Caraïbes, a pour objectif de devenir le premier pays au monde à être « résilient au climat » et le peuple autochtone Kalinago joue un rôle de premier plan dans le développement de la nation et aide ses habitants à prospérer face à l'urgence climatique.
Des personnes touchées par la guerre des gangs dans la capitale haïtienne, Port-au-Prince, ont décrit à l'ONU comment leur vie a été violemment changée, l'une d'elles affirmant avoir le sentiment d'avoir perdu son identité et de n’être plus « rien ».
Une jeune mère malgache a raconté à ONU Info comment elle a été contrainte de faire un voyage en urgence de 200 km sur des routes rurales difficiles, pour se rendre dans un hôpital régional spécialisé, suite aux complications rencontrées lors de son accouchement chez elle.
Sur fond de crise humanitaire et de violence des gangs en Haïti, les agences des Nations Unies avertissent que les enfants souffrent non seulement du fait de ne pas aller à l'école, mais aussi du fait d'être témoins de violences.
Lorsque le génocide contre les Tutsis au Rwanda a commencé en avril 1994, Eric Eugène Murangwa était footballeur dans l'un des meilleurs clubs du pays. Bien qu'il soit Tutsi, il a été protégé par un membre des Interahamwe, responsables de l'assassinat de centaines de milliers de personnes. À l'occasion du 30e anniversaire du génocide, commémoré le 7 avril, M. Murangwa a partagé son histoire extraordinaire avec ONU Info.
