Alors que les États Membres de l’ONU s’attèlent pour définir le programme de développement pour l’après 2015, de plus en plus de voix s’élèvent pour souligner le potentiel économique que recèle la culture.
De retour d’une mission d’évaluation au Soudan du Sud, le Conseiller spécial du Secrétaire général pour la prévention du génocide Adama Dieng revient sur les violences qui sévissent dans la plus jeune nation de notre planète.
Dès la fin décembre, l’ancien greffier du tribunal pour le Rwanda s’était inquiété par rapport à la potentielle dimension inter-ethnique des violences qui avaient éclos le 15 décembre dernier entre partisans du Président Salva Kiir et partisans de l’ancien vice-président Riek Machar au Soudan du Sud.
Présente à l’écran dans deux des films projetés à l’ONU dans le cadre de la commémoration de la Journée internationale de commémoration des victimes de l’esclavage et de la traite transatlantique des esclaves, l’actrice Aïssa Maïga revient sur l’importance d’enseigner l’histoire et de construire la mémoire de l’esclavage, mais aussi sur la représentation de l’esclavage au cinéma, la responsabilité politique des acteurs et l’avenir du cinéma africain.
Interview :
Aïssa Maïga, actrice
Interview, production et présentation : Isabelle Dupuis
Cette semaine, Escale, s’intéresse à la CSU, la couverture universelle en matière de santé. Jugée incontournable par certains pour éliminer la pauvreté, la CSU s’annonce d’ores et déjà comme l'un des enjeux clef du programme de développement de l’après 2015.
Les réunions de la Commission de la condition de la femme sont le rendez-vous annuel des États au cours duquel ils tentent de relever les plus grands défis relatifs à l’égalité des sexes et aux droits des femmes. Cette année plus de 6 000 personnes sont venues plaider pour les femmes lors la 58ème session, à l’instar de Rhizlaine Benachir, Ouafae Ben Abdennebi, et Wafaa Hajii, trois Marocaines dans les studios de la Radio des Nations Unies.
Cette semaine, Escale, s’intéresse à la récente projection et à la rencontre au Siège de l’ONU, à New York, du réalisateur et des acteurs du film « Tey », un mot Wolof qui se traduit en français par aujourd’hui. Un film sur le dernier jour d’un homme, Satché, tourné dans les rues de Dakar.
Pour le réalisateur franco-sénégalais, Alain Gomis, il s’agit de montrer d’une façon différente une histoire universelle. Il importe de sortir des sentiers battus et des manières conventionnelles afin de conter le parcours d’un homme.
La Journée internationale de commémoration des victimes de l'esclavage et de la traite transatlantique des esclaves cette année a été placée sous le thème « Victoire sur l'esclavage : Haïti et au-delà ». L'occasion de souligner la contribution du petit État des Caraïbes, première république noire, à la lutte contre l'esclavage et l'émancipation des Amériques, en son 210ème anniversaire.
Cette semaine, Escale, s’intéresse à la Journée du Petit Prince qui a eu lieu à New York à l’initiative de l’ONU, de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) et de la Succession de Saint-Exupéry. La Journée a été organisée, le vendredi 28 mars, mois de la francophonie, à la Bibliothèque municipale de New York, sise à Bryant Park, au croisement de la 5ème avenue et de la 42ème rue.
Cette semaine, Escale, revient sur la célébration de la Journée internationale de la francophonie célébrée le 20 mars et sur la table-ronde consacrée à la diplomatie culturelle et au multilinguisme animée par Mohammed Loulichki, Représentant permanent du Maroc et Président du groupe des ambassadeurs francophones.
Des milliers de garçons et de filles à travers le monde sont recrutés dans des forces gouvernementales et des groupes armés d'opposition pour servir comme combattants, cuisiniers, porteurs, messagers ou dans d'autres rôles. Les filles - et parfois les garçons - sont également recrutés à des fins sexuelles.
