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Pour sauver la planète, il faut sauver les océans, affirme le nouveau rapport du (GIEC) le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat publié ce mercredi. 

Le rapport signale que les océans ont absorbé environ un quart des émissions de gaz à effet de serre générés par les humains, avec des conséquences palpables : le niveau des mers et des océans qui monte deux fois plus vite, tout en se réchauffant. 

Au menu :


Suite du 74è débat général de l’Assemblée générale de l’ONU :

La Suisse souligne l’importance du principe d’égalité entre les États

La paix et la sécurité du Sahel sont celles de l’Afrique et du reste du monde, affirme le Président du Burkina Faso

A l’ONU, Emmanuel Macron appelle à un retour au courage politique pour affronter les défis mondiaux

En dossier, le GIEC appelle à  sauver les océans pour sauver la planète

Présentation :  Cristina Silveiro

La semaine de haut niveau de l'Assemblée générale des Nations Unies fut l'occasion cette année pour les chefs d'États et de gouvernement de faire le point sur la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030 et de l'Accord de Paris sur le climat.

Deux sommets de haut niveau ont été organisés à cet effet afin que tous les acteurs - y compris les collectivités locales - puissent renouveler leur engagement et renforcer leur action.

Le débat général de l'Assemblée générale cette année a été l’occasion pour les dirigeants, la société civile et les sociétés privées de faire le point sur leurs engagements dans la lutte contre le changement climatique.   

Lors du Sommet sur l’action climatique, le Président de la République démocratique du Congo, a présenté une initiative de la Communauté économique des États d’Afrique centrale (CEEAC) pour la protection des forêts du bassin du Congo.

Au menu :

Ouverture du 74ème débat général  à l’Assemblée générale, où doivent intervenir quelques 100 chefs d’États et de gouvernement au cours des prochains jours. 

Nous reviendrons sur les interventions liminaires  du Secrétaire général des Nations Unies, du Président de l'Assemblée générale ainsi que du Président du pays hôte, les États-Unis d'Amérique.

Dès l’ouverture du Sommet de haut niveau sur la couverture sanitaire universelle, qui se déroule ce lundi au Siège de l’ONU à New York, les États ont adopté une déclaration politique dans laquelle ils s'engagent à progresser vers une couverture maladie pour tous en investissant dans les soins de santé primaires. 

Selon l'Organisation mondiale de la santé, si la couverture sanitaire n’est pas doublée d’ici 2030, jusqu'à 5 milliards de personnes pourraient être privées de soins de santé.

Alors que les pays sont réunis à New York pour le Sommet de l’action climatique, l’Organisation météorologique mondiale (OMM) vient de publier un nouveau rapport qui fournit l’état des lieux le plus actuel sur le climat de la Terre.

La température moyenne de la planète aurait augmenté de 1,1 °C depuis l’époque préindustrielle, et de 0,2 °C depuis la période 2011–2015.

Au menu de ce journal :

Les dirigeants du monde adoptent une déclaration politique sur la santé pour tous (OMS)

« Nous avons l’obligation de tout faire pour mettre fin à la crise climatique »,  selon António Guterres

Action climatique : les jeunes veulent que l’on tienne compte de leurs propositions

2015-2019, les années les plus chaudes jamais enregistrées (OMM)

(Présentation :  Cristina Silveiro)

Au menu :

Les Nations Unies célèbrent aujourd’hui la Journée internationale de la paix

L’ONU s’inquiète de la recrudescence de la violence en Ituri et au Sud-Kivu, en République démocratique du Congo 

Depuis le début du mois, l’Afrique du Sud est touchée par une vague de violences xénophobes

En dossier, une responsable du Fonds mondial contre le sida, la tuberculose et le paludisme explique comment ce Fonds a sauvé 32 millions de vies depuis sa création.

Présentation : Jérôme Bernard

Le taux de mortalité infantile à la naissance a diminué de près de moitié et la mortalité maternelle de plus d'un tiers, depuis l’an 2000.  C’est ce que salue le nouveau rapport présenté ce jeudi par l’Organisation mondiale de la santé et UNICEF. 

Les femmes et les nouveau-nés sont néanmoins toujours les plus vulnérables pendant et immédiatement après l'accouchement, avec 1 décès toutes les 11 secondes, principalement de causes évitables.