L'ONU réaffirme son attachement à la liberté de la presse
Dans un message conjoint adressé en prévision de la Journée mondiale pour la liberté de la presse, qui sera observée le 3 mai, le secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, le directeur de l'Organisation de l'ONU pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO), Koïchiro Matsuura, et le Haut Commissaire de l'ONU pour les droits de l'homme, Mary Robinson, ont souligné qu'"au cours de chacune des deux dernières années, plus de 50 journalistes avaient été tués alors qu'ils couvraient des conflits violents".
Dans un message conjoint adressé en prévision de la Journée mondiale pour la liberté de la presse, qui sera observée le 3 mai, le secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, le directeur de l'Organisation de l'ONU pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO), Koïchiro Matsuura, et le Haut Commissaire de l'ONU pour les droits de l'homme, Mary Robinson, ont souligné qu'"au cours de chacune des deux dernières années, plus de 50 journalistes avaient été tués alors qu'ils couvraient des conflits violents".
Les trois hauts responsables ont affirmé qu'il ne s'agissait pas d'une vicissitude de la guerre, mais "d'une politique délibérée visant à empêcher les journalistes de révéler des activités terroristes et criminelles".
Dans un autre message, le Président de l'Assemblée générale, Han Seung-soo, a exhorté les gouvernements à prendre des mesures destinées "à faire du journalisme une profession moins dangereuse".
L'ONU commémorera cette Journée demain en organisant une table-ronde au Siège sur des questions comme la sécurité nationale et internationale et la liberté de la presse, la couverture télévisée des procès de terroristes, et la sécurité des journalistes. Y participeront de hauts fonctionnaires du secrétariat de l'ONU et des membres de la presse nationale et internationale.