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Présidentielle du 28 juillet au Mali: Ban appelle à la tenue d'un scrutin pacifique et crédible

Débarquement du matériel électoral transporté par la MINUSMA en prévision des élections du 28 juillet au Mali.MINUSMA/Blagoje Grujic
Débarquement du matériel électoral transporté par la MINUSMA en prévision des élections du 28 juillet au Mali.MINUSMA/Blagoje Grujic

Présidentielle du 28 juillet au Mali: Ban appelle à la tenue d'un scrutin pacifique et crédible

Alors que le Mali prépare la tenue de son scrutin présidentiel ce 28 juillet, le Secrétaire général des Nations Unies a réitéré vendredi son appel à la tenue d'un processus pacifique, crédible et transparent qui soit conforme aux aspirations du peuple malien.

Alors que le Mali prépare la tenue de son scrutin présidentiel ce 28 juillet, le Secrétaire général des Nations Unies a réitéré vendredi son appel à la tenue d'un processus pacifique, crédible et transparent qui soit conforme aux aspirations du peuple malien.

Dans une déclaration communiquée par son porte-parole, Ban Ki-moon, exhorte toutes les parties concernées à veiller à ce que le processus électoral se déroule de manière ordonnée. Il encourage tous les électeurs maliens à exercer leur droit démocratique à voter.

Le Secrétaire général se félicite aussi de l'adoption du Code de conduite par les candidats et exprime sa confiance en leur pleine adhésion à l'ensemble des dispositions qu'il contient, en particulier la nécessité de résoudre tout différend par des moyens pacifiques et juridiques.

Enfin, le patron de l'ONU note que cette élection est importante pour la restauration de l'ordre constitutionnel, du dialogue national et de la réconciliation au Mali et réaffirme également le soutien continu des Nations Unies au processus de paix et de stabilisation au Mali.

L'Organisation a déployé au Mali la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA), devenue pleinement opérationnelle le 1er juillet dernier.

Le 18 juin, le Gouvernement malien et les rebelles touaregs avaient signé un accord qui a ouvert la voie à la tenue de l'élection présidentielle sur l'ensemble du territoire malien, notamment à Kidal, dans le nord-est du pays.