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L&#39Assemblée générale clôture sa 61ème session

L&#39Assemblée générale clôture sa 61ème session

L'Assemblée générale
L&#39Assemblée générale a achevé, ce matin, les travaux de sa soixante et unième session, en invitant notamment ses Membres à poursuivre l&#39examen, lors de la session suivante, qui débutera demain après-midi, de la question de la réforme du Conseil de sécurité.

Dans son discours de clôture, la présidente de la soixante et unième session, Sheikha Haya Rashed Al Khalifa du Bahreïn, a fait état des « succès notables » enregistrés selon elle par l'Assemblée générale qui a travaillé « avec résolution, constance et de façon ouverte et transparente » (voir le communiqué de presse de l'ONU).

En tant que « première femme présidente en une génération » et « première femme présidente issue du monde arabe », elle a dit considérer les Nations Unies comme une « famille mondiale de plus en plus interdépendante ».

« Nous pouvons prendre d'autres mesures pour renforcer la confiance et la coopération », a-t-elle déclaré, en présence du Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, et du président de la soixante deuxième session de l'Assemblée générale, Srgjan Kerim de l'ex-République yougoslave de Macédoine.

« Il est clair que lorsque nous sommes unis nous sommes plus forts », a-t-elle ajouté. « Quand nous aspirons à notre objectif commun de façon résolue, alors l'Assemblée générale peut vraiment faire la différence. »

Sheikha Haya a également rappelé que la mise en ?uvre des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) avait constitué le thème principal de la session.

« Nous ne devrions pas perdre espoir », a-t-elle estimé. « C'est une situation où nous disposons de moyens pour la régler et la surmonter. »

La présidente s'est par ailleurs félicitée de l'adoption, lors de la 61ème session, de la Convention sur les droits des personnes handicapées, de la Convention sur les disparitions forcées et de la Déclaration sur les droits des peuples autochtones, mesures qui ont fait « avancer la protection et la promotion des droits de l'homme et des libertés fondamentales », tout en réaffirmant le « rôle de l'Assemblée générale en tant qu'organe délibérant majeur ».