Les violences sexuelles sont utilisées comme arme de répression massive à Khartoum, au Soudan. C’est ce qu’a déploré ce mardi le Bureau des droits de l’homme de l’ONU.

La Haut-commissariat qui précise qu’alors que des milliers d’opposants contre le coup d’État militaire du 25 octobre continuent de manifester dans la capitale soudanaise, plusieurs femmes auraient été agressées sexuellement.

Les précisions de Liz Throssell, porte-parole du Haut-commissariat aux droits de l’homme à Genève. 
 

(Mise en perspective : Liz Throssell, porte-parole du Haut-commissariat aux droits de l’homme à Genève.)