Alors que les médias font à nouveau état de la répression violente de manifestations de femmes en Afghanistan, à Genève, devant le Conseil des droits de l’homme, le Rapporteur spécial sur les droits à la liberté de réunion pacifique et d’association a dénoncé la tendance des États à considérer les manifestations pacifiques comme une menace pour la sécurité et à imposer des restrictions légales et autres pour les empêcher d’avoir lieu. 

En effet, selon les organisations non gouvernementales, depuis le début de la pandémie de Covid-19, l’usage excessif de la force contre des manifestants a été recensé dans au moins 79 pays, y compris d’une force meurtrière dans au moins 28 pays.

Clément Nyaletsossi Voule, s’est dit alarmé.

(Extrait sonore : Clément Nyaletsossi Voule, Rapporteur spécial sur les droits à la liberté de réunion pacifique et à la liberté d’association )