Les catastrophes naturelles sont plus de trois fois plus fréquentes que dans les années 1970 et 1980.  

Elles sont plus intenses, plus complexes et elles entrainent non seulement des pertes en vies humaines, mais aussi des conséquences économiques négatives, qui peuvent persister pendant des générations.

C’est l’avertissement lancé dans un nouveau rapport de la FAO, qui souligne que l'agriculture paie le plus lourd tribut face aux catastrophes naturelles, comme l’explique Dominique Burgeon, Directeur de la Division des urgences et de la résilience de la FAO.

(Extrait sonore : Dominique Burgeon, Directeur de la Division des urgences et de la résilience de la FAO; rpopos recueillis par Cristina Silveiro)