Ce n'était pas tout à fait le retour à la normale, mais ce qui est généralement la semaine la plus chargée de l'année aux Nations Unies à New York, a attiré une centaine de chefs d'État et de gouvernement du monde entier.

Le dirigeant américain, Joe Biden, a prononcé son premier discours au débat général de l'ONU en tant que Président.

La salle de l'Assemblée générale des Nations Unies était ouverte, comme elle l'a été pendant une grande partie de la pandémie de COVID-19, et certains délégués ont marqué leur retour en prenant des photos.

Alors que les couloirs normalement animés du bâtiment du Secrétariat de l'ONU étaient inhabituellement calmes, le bourdonnement numérique de l'activité s'est poursuivi.

L'ONU a fait les gros titres des médias mondiaux, mais seuls les correspondants résidents qui ont un bureau au siège de l'ONU ont pu y assister.

Les rencontres bilatérales en tête-à-tête sont un élément clé d'une diplomatie réussie et cette année, elles étaient de nouveau à l'ordre du jour. Ici, le Secrétaire général de l'ONU António Guterres rencontre la reine Máxima des Pays-Bas.

Et le Président de l'Assemblée générale Abdulla Shahid (à droite) a profité du temps chaud pour s'entretenir avec la ministre australienne des Affaires étrangères, Marise Payne, dans l'enceinte de l'ONU surplombant l'East River de New York.

En dehors du site de l'ONU, la Vice-Secrétaire générale, Amina Mohammed, a assisté au festival Global Citizen à Central Park, à New York, établissant des parallèles entre l'événement qui vise à « vaincre la pauvreté, exiger l'équité et défendre la planète » et les objectifs de la ONU.

Et les New-Yorkais ont également eu droit à une projection nocturne sur le côté du bâtiment de l'ONU d'un film de 154 mètres de haut intitulé ‘Migration verticale’, qui souligne l'importance cruciale de la biodiversité et des océans du monde.