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La Journée des gens de la mer, célébrée chaque année le 25 juin, met en lumière la contribution importante des gens de mer au commerce mondial. Dans le contexte de la lutte mondiale contre la pandémie de COVID-19, les services qu'ils fournissent sont plus importants que jamais. Plus d’explications avec Karine Langlois, chargée de la communication à l’Organisation maritime internationale (OMI)

Le HCR, l'Agence des Nations Unies pour les réfugiés, exhorte ce jour tous les pays à travers le monde à faire davantage pour offrir un foyer aux millions de réfugiés et autres personnes déracinées par les conflits, la persécution ou tout autre événement bouleversant l'ordre public. Comme le montre le rapport statistique publié ce jour, les déplacements forcés concernent aujourd'hui plus de 1% de l'humanité - soit une personne sur 97 - celles qui fuient étant de moins en moins nombreuses à pouvoir rentrer dans leur pays d’origine. 

Au cours de ces 25 dernières années, des millions d’oiseaux d’eau migrateurs reliant l’Afrique, l’Europe et des parties de l’Asie, ont bénéficié du travail collectif réalisé par des pays et autres acteurs dans le cadre de l’Accord sur la conservation des oiseaux d’eau migrateurs d’Afrique-Eurasie (AEWA). 

 La pandémie du COVID-19 a mis en exergue la complexité de nos chaînes d’approvisionnement alimentaire et l’importance d’un effort collectif pour assurer une nourriture sans danger.
La sécurité sanitaire des aliments est relativement invisible dans notre vie quotidienne.

Et pourtant, les produits alimentaires dangereux peuvent avoir des répercussions négatives sur la santé publique, le commerce et l’économie comme nous l’explique Blaise Ouattara, expert en sécurité sanitaire des aliments à la FAO.

Le 5 juin est la Journée mondiale de l'environnement et cette année, l'accent est mis sur la biodiversité, appelant à ce que la nature soit au cœur de toutes les décisions.