Le Procureur du Tribunal pénal international de l'ONU pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) a déploré aujourd'hui le degré de coopération "insuffisant" des autorités de Belgrade avec les travaux du tribunal.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a souligné ce matin l'importance que revêtait à ses yeux la pleine coopération de tous les pays avec le travail des tribunaux pénaux internationaux de l'ONU pour l'ex-Yougoslavie et le Rwanda.
Les derniers témoins ont défilé aujourd'hui à la barre du Tribunal pénal international de l'ONU pour l'ex-Yougoslavie (TPIY), dans le cadre du procès de l'ancienne Présidente serbe de Bosnie, Biljana Plavsic.
Le Tribunal pénal international de l'ONU pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) a décidé d'accorder une protection spéciale aux journalistes qui travaillent dans les zones de combat, affirmant qu'ils n'auraient à comparaître que lorsque leur témoignage est indispensable au bon déroulement du procès.
Le Tribunal pénal international de l'ONU pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) a condamné un habitant bosno-serbe à une peine de 20 ans de prison pour des atrocités commises contre ses voisins musulmans en 1992.
Le Tribunal pénal international de l'ONU pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) a annoncé aujourd'hui qu'il avait regroupé les deux actes d'inculpation contre le général bosno-serbe Ratko Mladic, l'un des accusés de crimes de guerre les plus recherchés du conflit de Bosnie-Herzégovine des années 1990.
Le Tribunal pénal international de l'ONU pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) a annoncé aujourd'hui que le procès de l'ex-président yougoslave Slobadan Milosevic serait suspendu cette semaine, en partie pour des raisons de santé.
Il faudrait que les pays fassent preuve d'une meilleure coopération avec les Tribunaux des Nations Unies dans l'arrestation des responsables présumés de crimes de guerre. C'est ce qu'a déclaré hier au Conseil de sécurité Carla del Ponte, Procureur des Tribunaux de l'ONU pour l'ex-Yougoslavie et le Rwanda.
Le Tribunal pénal international de l'ONU pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) a lancé un appel solennel à tous les pays pour qu'ils coopèrent à l'arrestation de tous les individus soupçonnés de crimes de guerre.
Le Président du Tribunal pénal international de l'ONU pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) a informé le Conseil de sécurité que les autorités de Belgrade ne coopéraient pas comme prévu avec la juridiction internationale.