Au menu de l’actualité :
🔹 RDC : l’ONU dénonce les possibles crimes de guerre par toutes les parties au conflit dans les Kivus
🔹 Ukraine : l'autonomisation des femmes est essentielle pour atténuer le stress lié à la guerre
🔹La réduction des émissions a un effet quasi immédiat sur la qualité de l’air
Présentation : Cristina Silveiro
Alors que des milliards de personnes continuent de respirer un air pollué qui cause plus de 4,5 millions de décès prématurés chaque année, des experts des Nations Unies ont souligné vendredi le rôle néfaste des particules de fumée microscopiques issues des incendies de forêt, qui parcourent la moitié du globe.
Un suivi préliminaire du conflit ukrainien indique des impacts significatifs sur les environnements urbains et ruraux qui pourraient laisser à l’Ukraine et à la région « un héritage toxique pour les générations à venir », a alerté ce lundi le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE).
Un tiers des pays du monde ne disposent pas de normes sur la qualité de l'air extérieur (ambiant) imposées par la loi. Et lorsque de telles lois existent, les normes varient considérablement et ne sont souvent pas conformes aux directives de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
A l’occasion de la première Journée internationale de l’air pur pour des ciels bleus, le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a réclamé lundi un changement radical et systémique pour empêcher les émissions de polluants atmosphériques.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a appelé mercredi les dirigeants du monde à mieux protéger la santé des populations des effets du changement climatique.
