Filtrer par:

MGF

Des hommes et des garçons se joignent à l'effort de plaidoyer contre les mutilations génitales féminines (MGF) en Ouganda.
© UNICEF/Henry Bongyereirwe

Avec 4,2 millions de filles à risque, les hommes doivent s’engager contre les mutilations génitales féminines

Les mutilations génitales féminines, ou MGF, sont une « violation odieuse des droits fondamentaux de l'homme », a déclaré lundi le Secrétaire général de l'ONU, à l'occasion de la Journée internationale de la tolérance zéro contre ce fléau, qui demeure une menace pour 4,2 millions de filles cette année.

Des filles écoutent une présentation du réseau de jeunes éducateurs Y-PEER sur les méfaits des mutilations génitales féminines dans leur école de Garowe, au Puntland.
UNFPA Somalie/Tobin Jones

En Somalie, 100 mères s’engagent à ne jamais faire subir de mutilations génitales à leurs filles

Les crises humanitaires comme celle de la Covid-19 ont mis à mal les efforts de prévention des mutilations génitales féminines (MGF) et deux millions de filles supplémentaires sont désormais à risque de subir ces pratiques au cours des dix prochaines année , a alerté le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) à l’occasion de la Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des MGF.

Audio
1'44"
Une adolescente qui a échappé à la mutilation génitale féminine est en classe dans une école pour filles, en Ouganda.
Photo : UNICEF/Henry Bongyereirwe

Deux millions de femmes et de filles de plus risquent de subir des mutilations génitales féminines à cause de la Covid-19

Deux millions de femmes et de filles pourraient subir des mutilations génitales féminines au cours de la prochaine décennie, en plus des 4 millions déjà à risque chaque année, parce que la Covid-19 oblige les écoles à fermer et perturbe les programmes qui contribuent à protéger les filles contre ces pratiques néfastes, ont averti les Nations Unies, à l’occasion de la Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines, le 6 février.  

Audio
4'43"
Photo : ONU

Avec 2,4 milliards de dollars, le monde pourrait mettre fin aux mutilations génitales féminines d’ici 2030

Deux millions de femmes et de filles pourraient subir des mutilations génitales féminines (MGF) au cours de la prochaine décennie, en plus des 4 millions déjà à risque chaque année, parce que la Covid-19 oblige les écoles à fermer et perturbe les programmes qui contribuent à protéger les filles contre ces pratiques néfastes.

C’est l’avertissement lancé par l’ONU, à l’occasion de la Journée internationale de tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines, le 6 février.

Audio
4'43"