Si la Syrie a amélioré sa coopération avec la Commission d'enquête internationale, en autorisant l'interrogation de cinq hauts représentants syriens soupçonnés d'être impliqués dans l'assassinat de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri, elle devra faire plus pour lever tout doute quant à sa volonté de faire connaître la vérité, affirme le dernier rapport Mehlis présenté aujourd'hui au Conseil de sécurité.