Les pratiques connues sous le nom de « thérapies de conversion » infligent de graves souffrances aux personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, trans ou de genre variant (LGBT), entraînant souvent des dommages psychologiques et physiques durables, a déclaré un expert des Nations Unies au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies. Il a appelé à une interdiction mondiale.