A la veille de la Journée mondiale de la liberté de la presse, le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, et la cheffe de l’UNESCO, Audrey Azoulay, ont appelé à défendre les droits des journalistes dans un contexte de montée des discours de haine contre les médias et d’une recrudescence d’actes de violence contre eux.