Dans un taxi collectif à Damas, deux femmes se trouvaient côte à côte, l'une âgée et visiblement désespérée, l'autre plus jeune, cultivée et extravertie. Elles ne se connaissaient pas. La plus jeune d'entre elles a toutefois vite remarqué qu'elles avaient quelque chose en commun : elles étaient toutes deux des réfugiées iraquiennes, à la dérive dans la capitale syrienne.