L’envoyé de l’ONU au Moyen-Orient a plaidé mardi devant le Conseil de sécurité pour une relance des efforts diplomatiques visant à mettre fin au conflit entre Israéliens et Palestiniens et à mettre en oeuvre une solution à deux Etats, Israël et Palestine.
Le Conseil de sécurité des Nations Unies s’est réuni mardi sur le Moyen-Orient. Présidée par le ministre belge des affaires étrangères et de la défense, Philippe Goffin, la réunion du Conseil a traité de la question palestinienne et abordé le plan de paix proposé par les États-Unis le mois dernier.
Le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a rappelé mardi la détermination de l’Organisation à réaliser la vision de deux Etats – Israël et Palestine – vivant côte à côte dans la paix et la sécurité.
Tous les critères définis pour l'ouverture d'une enquête à propos de la situation en Palestine sont réunis, a affirmé vendredi dans une déclaration la Procureure de la Cour pénale internationale (CPI), Fatou Bensouda.
Le coût budgétaire de l'occupation pour le peuple palestinien limite gravement la capacité de l'État de Palestine d'atteindre les objectifs du développement durable, selon un rapport de l’ONU publié lundi.
Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, qui suit avec « une profonde préoccupation » les derniers développements à la frontière entre Gaza et Israël, a exhorté dimanche toutes les parties à faire preuve de la plus grande retenue.
Lors d’une réunion du Conseil de sécurité consacrée à la situation au Moyen-Orient, une responsable du Secrétariat des Nations Unies a prévenu les Etats membres que le conflit entre Israéliens et Palestiniens ne pouvait pas être « géré » éternellement et que le statu quo ne conduirait qu’à davantage de radicalisation et de souffrances.
L’Égypte est un partenaire fondamental pour les Nations Unies en matière de paix et de sécurité dans la région, a déclaré mercredi le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, avant de quitter le pays pour se rendre en Libye.