Selon un rapport publié lundi par la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED), les ressortissants instruits et hautement qualifiés en provenance des pays les plus pauvres, et qui sont partis travailler à l'étranger, pourraient contrer les effets de l'« exode des compétences » dans leurs pays d'origine en contribuant au transfert de connaissances et en orientant l'investissement vers ces pays.