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Une femme se fait prendre la température avant d'entrer dans un hôpital de Bulawayo, au Zimbabwe.
OIT/KB Mpofu
Une femme se fait prendre la température avant d'entrer dans un hôpital de Bulawayo, au Zimbabwe.

« Nous ne pouvons pas vaincre une pandémie de manière non coordonnée », avertit le chef de l’ONU

16 décembre 2021
À l’ONU

Soulignant que le monde « ne peut pas vaincre une pandémie de manière non coordonnée », le Secrétaire général de l'ONU a déclaré jeudi que les pays « doivent prendre des mesures concrètes dans les prochains jours » pour vacciner 40 % de la population mondiale d'ici la fin de l'année.

S'adressant aux journalistes à New York, António Guterres a également demandé aux États membres d'être « beaucoup plus ambitieux » dans leurs efforts pour atteindre 70 % de la population de tous les pays d'ici à la mi-2022, un objectif fixé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).  

À quelques jours de l'échéance, 98 pays n'ont pas été en mesure d'atteindre cet objectif de fin d'année et 40 nations n'ont même pas encore réussi à vacciner 10 % de leur population. Dans les pays à faible revenu, moins de 4 % de la population est vaccinée.  

Un « laissez-passer » pour les variants 

« L'inégalité en matière de vaccination donne aux variants un laissez-passer pour se déchaîner - en ravageant la santé des populations et des économies aux quatre coins du monde », a déclaré M. Guterres.  

L'inégalité en matière de vaccination donne aux variants un laissez-passer pour se déchaîner - en ravageant la santé des populations et des économies aux quatre coins du monde.
-António Guterres

Selon l'OMS, les taux de vaccination dans les pays à revenu élevé sont 8 fois plus élevés que dans les pays d'Afrique. Au rythme actuel, le continent n'atteindra pas le seuil des 70 % avant août 2024. 

Pour toutes ces raisons, le Secrétaire général estime que « la Covid-19 n'est pas près de disparaître ». 

« Il devient clair que les vaccins seuls ne permettront pas d'éradiquer la pandémie », a affirmé le chef de l’ONU, précisant que « les vaccins évitent l'hospitalisation et la mort pour la majorité de ceux qui les reçoivent et ralentissent la propagation ». 

« Mais les transmissions ne montrent aucun signe de ralentissement », a dit M. Guterres expliquant que cette situation est « due à l'inégalité des vaccins, à l'hésitation et à la complaisance ».

Une année difficile 

Lors de sa dernière conférence de presse de l'année à New York, M. Guterres a déclaré que le monde arrivait « à la fin d'une année difficile », où la pandémie fait toujours rage, les inégalités continuent de se creuser, le fardeau des pays en développement s'alourdit et la crise climatique n'est toujours pas résolue.  

« Je suis profondément inquiet. Si les choses ne s'améliorent pas - et rapidement - nous devrons faire face à des temps encore plus difficiles », a averti le chef de l'ONU.  

M. Guterres a également dénoncé les efforts de relance « déséquilibrés », qui accélèrent les inégalités et augmentent les pressions sur les économies et les sociétés. 

En fait, a-t-il rappelé, les économies avancées ont mobilisé près de 28 % de leur produit intérieur brut pour la relance économique. Pour les pays à revenu intermédiaire, ce chiffre est tombé à 6,5 % et il s'est effondré à 1,8 % pour les pays les moins avancés.  

Le système financier mondial « aggrave les inégalités » 

Le Secrétaire général a mis en avant les projections du Fonds monétaire international (FMI) montrant que la croissance économique cumulée par habitant au cours des cinq prochaines années en Afrique subsaharienne sera inférieure de 75 % à celle du reste du monde. 

Alors que l’inflation aux États-Unis atteint son plus haut niveau depuis 40 ans aux et qu’elle augmente ailleurs, M. Guterres s'attend à ce que les taux d'intérêt augmentent, imposant des contraintes budgétaires plus importantes aux pays les moins développés. 

« Les défauts de paiement deviendront inévitables pour les pays à faible revenu qui supportent déjà des coûts d'emprunt beaucoup plus élevés », a-t-il déclaré, ajoutant que « le système financier mondial actuel suralimente les inégalités et l'instabilité ».

En conséquence, les inégalités ne cessent de se creuser, les bouleversements sociaux et la polarisation ne cessent de croître et les risques ne cessent d'augmenter.  

Pour M. Guterres, « il s'agit d'une poudrière qui favorise l'agitation et l'instabilité sociales » et qui représente « un danger clair et présent pour les institutions démocratiques ».

Pour cette raison, a-t-il fait valoir, « il est temps d'assumer clairement la nécessité de réformer le système financier international ».
 

Une livraison de doses de vaccins contre la Covid-19 fournies par la structure COVAX est vérifiée à Goma, dans l'est de la République démocratique du Congo.
UNICEF/Arlette Bashizi
Une livraison de doses de vaccins contre la Covid-19 fournies par la structure COVAX est vérifiée à Goma, dans l'est de la République démocratique du Congo.

Des « échecs moraux »  

Selon le Secrétaire général, la réponse à la pandémie et du système financier international révèle des échecs de gouvernance qui sont aussi des échecs moraux.  

« Je suis déterminé à ce que 2022 soit l'année où nous nous attaquons enfin aux déficits des deux systèmes de gouvernance », a-t-il déclaré.  

Le Secrétaire général est sûr que le monde sait « comment faire de 2022 une nouvelle année plus heureuse et pleine d'espoir », mais il a ajouté que chacun « doit faire tout ce qu'il faut pour que cela se produise ». 

Enfin, le chef de l'ONU a évoqué sa dernière visite de l'année, qui le conduira ce samedi au Liban, un pays « qui est en proie à tous ces défis et pire encore ».
 

 

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Secrétaire général de l'ONU|COVID-19|coronavirus|Nouveau coronavirus

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