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Fin du programme de rapatriement du HCR en faveur des réfugiés sierra-léonais

Fin du programme de rapatriement du HCR en faveur des réfugiés sierra-léonais

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Les derniers convois de réfugiés organisés par l'agence de l'ONU pour les réfugiés ont quitté le Libéria et la Guinée en direction de la Sierra Leone, mettant ainsi fin à un ensemble d'opérations qui ont aidé 178 000 réfugiés sierra-léonais à rentrer chez eux.Aujourd'hui mercredi, deux convois du Haut Commissariat aux droits de l'homme (HCR), l'un acheminant 329 Sierra-léonais en provenance de la Guinée et l'autre transportant 286 de leurs concitoyens, ont traversé pour la dernière fois le pont franchissant la rivière Mano en direction de la Sierra Leone.

Les derniers convois de réfugiés organisés par l'agence de l'ONU pour les réfugiés ont quitté le Libéria et la Guinée en direction de la Sierra Leone, mettant ainsi fin à un ensemble d'opérations qui ont aidé 178 000 réfugiés sierra-léonais à rentrer chez eux.

Aujourd'hui mercredi, deux convois du Haut Commissariat aux droits de l'homme (HCR), l'un acheminant 329 Sierra-léonais en provenance de la Guinée et l'autre transportant 286 de leurs concitoyens, ont traversé pour la dernière fois le pont franchissant la rivière Mano en direction de la Sierra Leone.

Le programme de rapatriement du Haut Commissariat pour les réfugiés (HCR) qui devait s'achever le 30 juin a été prolongé jusqu'à la fin juillet pour permettre à quelques milliers de réfugiés de dernière minute de rentrer chez eux.

Après que le HCR ait conduit des campagnes d'information de masse de façon à prévenir les Sierra-Léonais réfugiés dans les pays voisins de la fin du programme le 30 juin, le rythme des retours s'est accéléré de façon nette au cours des mois précédents la date limite.

Depuis que ce programme a été lancé en 2001, le HCR a aidé au retour de quelque 178 000 réfugiés sierra-léonais. Ceux-ci sont confrontés à « de nombreuses difficultés une fois qu'ils ont réintégré leurs communautés, tout spécialement ceux qui ont subi d'horribles mutilations pendant la guerre », fait toutefois observer le Haut Commissaire aux droits de l'homme, Ruud Lubbers.