Les présidents des Comités des sanctions de l'ONU appellent à un renforcement de l'action internationale dans ce domaine

L'imposition de sanctions par le Conseil de sécurité contre différentes factions guerrières a un effet dissuasif, mais il reste encore beaucoup à faire pour accroître leur efficacité. C'est ce qu'ont affirmé en substance ce matin devant le Conseil de sécurité les chefs des comités des sanctions de l'ONU contre l'Iraq, l'Angola et le Libéria, et les membres du Groupe d'experts chargé de vérifier l'application effective des mesures prises contre Ousama bin Laden, le réseau terroriste Al-Qaida et les Taliban.

L'imposition de sanctions par le Conseil de sécurité contre différentes factions guerrières a un effet dissuasif, mais il reste beacoup à faire pour faire accroître leur efficacité. C'est ce qu'ont affirmé en substance ce matin devant le Conseil de sécurité les chefs des comités de sanctions de l'ONU contre l'Iraq, l'Angola et le Libéria, et les membres du Groupe d'experts chargé de vérifier l'application effective des mesures prises contre Ousama bin Laden, le réseau terroriste Al-Qaida et les Talibans.

Les orateurs ont également souligné l'importance d'élaborer de nouvelles mesures préventives contre le terorrisme international, affirmant que les moyens de lutte traditionnels après les faits n'étaient plus adaptés aux réalités.