Sur les 15 000 soldats autorisés par le Conseil de sécurité, la Mission de l'ONU au Libéria n'en comptait, le 12 décembre dernier, que 5 900, indique le Secrétaire général dans son premier rapport sur la Mission de l'ONU dans le pays, la MINUL. Il y met en garde contre les dangers présentés par ce sous-effectif et prévient également les groupes armés qu'ils pourraient avoir à répondre des entraves à l'action des Casques bleus ainsi que des violations du cessez-le-feu.