Entre une fillette née au Japon qui peut espérer vivre jusqu'à environ 85 ans et celle née au même moment dans l'un des pays les plus pauvres d'Afrique, la Sierra Leone, dont l'espérance de vie est d'à peine 36 ans, il y a une différence majeure : la Japonaise bénéficiera de prestations de santé parmi les meilleures au monde alors que la fillette de Sierra Leone risque de ne jamais savoir ce qu'est un médecin, une infirmière ou un agent de santé. C'est à cette situation que l'agence de l'ONU pour la santé a décidée de s'attaquer.