Alors que Lakhdar Brahimi, le Conseiller spécial de l'ONU, poursuit ses consultations en Iraq, deux éléments viennent compliquer son travail : le terme de technocrate, accolé par la presse au prochain gouvernement iraquien, ce qui n'a jamais été sa vision des choses, affirme son porte-parole, et le scandale des prisons.