Le responsable des affaires humanitaires de l'ONU, Jan Egeland, a estimé hier que les crises les plus graves, notamment en Afrique, pourraient être réglées si on leur accordait plus d'attention, de pressions politiques et de moyens, à la mesure de ce qui est fait en Europe ou au Moyen-Orient. Le Conseil de sécurité, par la voix de sa présidente, a appelé à une répartition équilibrée de l'assistance aux crises en Afrique.