La conclusion de l'accord sur le partage du pouvoir signé en décembre représente, certes, un pas important vers la réconciliation nationale, mais il faudrait maintenant que les parties congolaises s'engagent résolumment à le faire respecter plutôt qu'à poursuivre leurs affrontements sur le terrain. C'est ce qu'a affirmé le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, dans un rapport sur la situation en République démocratique du Congo (RDC) rendu public ce matin.