Contrairement aux articles publiés dans la presse internationale, ce sont les autorités de Timor-Leste, pas des Nations Unies, qui ont procédé à l'inculpation de l'ancien chef militaire indonésien, le général Wirando, pour son rôle dans les violences commises en 1999, en marge de la consultation populaire sur l'indépendance du Timor oriental.