L'affaire est entendue, a indiqué le Conseiller spécial pour Chypre, lors d'explications fournies tard la nuit dernière, au cours desquelles il a précisé que le Secrétaire général avait finalisé le texte que les dirigeants chypriotes avaient accepté de soumettre à référendum, que la date de ceux-ci avait été repoussée de quelques jours et fixée au 24 avril et que c'est un plan très différent du plan de départ qui sera présenté au Conseil de sécurité peut-être dès demain.