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Aicha est à la tête de Nessemon, un groupe de défense de veuves à Man, en Côte d'Ivoire.
Tous les soirs, elle prépare des plats qu’elle vendra le lendemain pour subvenir aux besoins des veuves, qui vivent dans sa concession. Ici, Aicha, assise avec sa petite-fille Roseline dans leur maison.
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Lia a ouvert le premier musée de guerre de fortune dans la ville d’Ergneti relatif au conflit de 2008 en Géorgie.
Ce musée de fortune présente des photographies, des pièces et, plus généralement, des objets se rapportant au conflit de 2008. Il est situé dans le sous-sol de sa maison, à quelques mètres de la frontière administrative.
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Dans une salle de classe bondée de 120 élèves entre 11 et 14 ans d’une école de garçons de Bangui, en République centrafricaine, M. Basile montre une photo d’enfants musulmans harcelés par des chrétiens, et réciproquement, puis demande à la classe : « Est-ce bien ou mal ? » Les garçons répondent à l’unisson « C’est mal ».
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Pendant le conflit de 2008 en Géorgie, Madona et son mari ont été enlevés et celui-ci a été tué. Elle s’est réfugiée à Koda avec ses trois enfants.
Elle a rapidement fondé l’association de femmes, qui facilite la mise en œuvre de diverses initiatives prises par les femmes dans le domaine économique et social au sein de la population déplacée.
« J’ai l’impression d’avoir commencé une deuxième vie lorsque j’ai lancé ce centre, » dit-elle. « Je me sens nécessaire ici ».
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« Les femmes des deux camps se soutiennent mutuellement ». Coordinatrice à l’ONG Planète Femmes en République centrafricaine, Chantal travaille avec des femmes victimes de violences à caractère sexiste appartenant aux deux camps du conflit. Elle anime un groupe de parole qui se réunit une fois par semaine pour que les femmes puissent partager leur histoire et se soutenir.
Elle est également à la tête d’une ONG qui œuvre à la création d’opportunités génératrices de revenus pour les femmes, grâce à des prêts de groupe et des microfinancements.
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« Mon travail était la désescalade », raconte Okello, chef de communauté dans le nord de l’Ouganda.
« Nous avons dit à tout le monde : il faut d’abord faire une autopsie. Il faut établir ce qui s’est vraiment passé. Au lieu de les laisser se battre d’abord et poser des questions ensuite, j’ai lancé un appel à tous pour établir d’abord les faits ».
« Ensuite, pour négocier avec les deux familles, j’ai utilisé notre culture locale. Quand un tel événement se produit, la famille du conjoint survivant doit prendre en charge les funérailles et toutes les dépenses. Cela semble juste, et c’est également un premier geste d’apaisement ».
Témoignages recueillis par l’Unité de la sensibilisation de la CPI auprès de survivants des pires crimes qui soient. Exposition de la CPI aux Nations Unies à New York, jusqu’au 29 juillet