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Aminatou Sali (à droite) fait partie de 150 Camerounais à qui on a appris à fabriquer des sandales en cuir après avoir été déplacés par les attaques d'insurgés armés dans le nord-est du pays. Certains disent que ces hommes appartiennent au groupe extrémiste Boko Haram.
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Cette femme, âgée de 30 ans et mère de cinq enfants, a fui son village il y a deux ans lorsque des hommes armés sont arrivés du Nigéria à la tombée de la nuit et ont incendié sa maison à Mora. Elle n'a pas vu son mari depuis. « Après l'arrivée de Boko Haram, ma vie est revenue à zéro », a-t-elle déclaré à ONU Info dans l'atelier de Maroua. « Vendre ces produits m'aide à reconstruire ma vie ».
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Boko Haram et d'autres groupes islamistes armés continuent de mener des attaques violentes et de répandre la terreur dans le nord-est du Nigéria et au Cameroun. Les Nations Unies ont fourni de l'aide à des dizaines de milliers de Nigérians arrivés au Cameroun après une attaque contre la ville de Rann (Nigéria) par des extrémistes.