Une nouvelle publication des Nations Unies fait la lumière sur la manière dont les victimes de la traite des êtres humains sont "hébergées" à différents stades de leur épreuve.

Le processus d'"hébergement" constitue un acte de traite des êtres humains dans la définition internationalement reconnue de ce crime et est utilisé par les procureurs et les juges pour obtenir des condamnations.

L'hébergement est l'un des actes les plus fréquents lors de la traite des êtres humains, mais ce concept n'est pas interprété de la même manière dans le monde entier.

Martin Hemmi est fonctionnaire à l'ONUDC, l'Office des Nations Unies contre le drogue et le crime. Il est chargé de la prévention du crime et de la justice pénale et a coordonné la production du rapport.

Il espère que la nouvelle étude sera utilisée par les enquêteurs, les procureurs et les juges pour permettre une meilleure compréhension de ce crime et soutenir les mesures visant à protéger efficacement les victimes et à punir les trafiquants.