Le Bureau des droits de l’homme de l’ONU s’inquiète de « l’utilisation abusive de l’état d’urgence » en Ethiopie. 

Ses dispositions sont extrêmement larges, avec des interdictions vagues allant jusqu’à englober le soutien « moral indirect » à ce que le gouvernement a qualifié de « groupes terroristes ». 

Au moins 1.000 personnes, la plupart d’origine tigréenne, auraient été arrêtées par les autorités éthiopiennes.  Le détail avec Liz Throssel, porte-parole du Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme.

(Mise en perspective : Liz Throssel, porte-parole du Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme)