Un an après les explosions dévastatrices dans le port de Beyrouth, de nombreuses familles libanaises sont toujours démunies. Depuis lors, le pays est en chute libre, aux prises avec une triple crise : économique, politique et sanitaire due à la Covid-19.

Aussi, pour la Haut-Commissaire aux droits de l’homme, Michelle Bachelet, les responsables de cette catastrophe ont des comptes à rendre.　 

Un an après les terribles explosions qui ont détruit le port et des quartiers de la capitale libanaise, plusieurs agences onusiennes ont déploré la précarité de nombreuses familles dans le pays.

Plus de 200 personnes ont été tuées et 6 500 blessées, sans compter les répercussions économiques et les milliers de personnes sans emploi. Face à un tel désastre, la Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme demande que des comptes soient rendus sur la crise qui s’aggrave de jour en jour.