En Ethiopie une personne meurt toutes les deux heures à cause des accidents de la route - une tendance à la hausse. Dans la capitale, la plupart des victimes sont des piétons alors que dans le reste du pays ce sont des passagers.

C’est ce qui ressort de l’Examen des performances de l’Éthiopie en matière de sécurité routière publiée par la Commission économique des Nations Unies pour l’Europe (CEE-ONU) cette semaine.

L’étude maintient qu’un engagement politique est nécessaire pour mettre fin au carnage sur les routes de ce pays et identifie également des mesures concrètes pour sauver des vies.

Jean Rodriguez est chef de l’information de la CEE-ONU.