Escale : le magazine

Cette semaine, dans Escale nous aborderons la question de l'éducation, une question primordiale pour le développement des pays. Une priorité essentielle au cœur de l'Agenda des Nations Unies pour 2030, qui conditionne le succès des 17 Objectifs de développement durable (ODD).

Nous verrons comment les principaux acteurs se mobilisent pour une éducation de qualité inclusive et équitable alors que le montant de l'aide allouée à l'éducation est en baisse pour la sixième année consécutive.

Cette semaine dans Escale nous marquons les 69 ans de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide avec le Conseiller spécial de l’ONU pour la prévention du génocide, Adama Dieng.

La jeunesse du Burkina Faso est confrontée à de nombreux problèmes qui empêchent son plein épanouissement, tel que le chômage, l’incivisme ou encore le mariage précoce. C’est dans cette lutte que s’est lancée le Réseau des organisations des jeunes leaders africains des Nations Unies, pour l’atteinte des Objectifs de développement durable (ODD), afin d’aider les jeunes à trouver facilement leurs repères pour surmonter ces difficultés.

En République démocratique du Congo (RDC), le principal mandat de la police de la Mission des Nations Unies (UNPOL) consiste à participer à la sécurisation des personnes. Le général Awalé Abdounasir, commandant de la Police de la MONUSCO,  est l’invité d’ONU Info et d'Escale cette semaine. Il occupe ce poste depuis février 2016 après avoir eu des fonctions similaires dans deux autres missions, en Côte d’Ivoire au sein de l’ONUCI, puis au Mali, à la MINUSMA.

Dans cette édition d’Escale nous allons à la rencontre de personnes vivant dans la pauvreté, de militants et d’écoliers, qui se sont tous réunis à l’ONU le 17 octobre dernier pour célébrer la« Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté ».

Ils reviennent notamment sur l’importance d'œuvrer avec les personnes vivant dans la misère pour leur porter assistance, dénoncent le fait que souvent les enfants des milieux démunis sont arrachés à leur famille « pour leurs donner une opportunité » et réagissent aux diverses interventiosn de la Journée.

L’invité d’Escale cette semaine est Robert Kaminker un ancien fonctionnaire international qui a été l’un des tous premiers employés de l’ONU, en janvier 1946, lors de la création effective de l’Organisation mondiale. Il n'avait alors que 18 ans. Au-delà de cette caractéristique peu commune qui lui font dire, non sans humour, qu’il doit figurer parmi les derniers des Mohicans de cette période pionnière, ce qui ne cesse de surprendre et de fasciner c’est la foi intacte et inébranlable dans le système des Nations Unies.

L’invité d’Escale cette semaine est Robert Kaminker un ancien fonctionnaire international qui a été, à Londres, l’un des tous premiers employés de l’ONU, en janvier 1946, lors de la création effective de l’Organisation mondiale. Il était alors âgé de 18 ans. Au-delà de cette caractéristique peu commune qui lui font dire, non sans humour, qu’il doit figurer parmi les derniers des Mohicans de cette période pionnière, ce qui ne cesse de surprendre et de fasciner c’est la foi intacte et inébranlable dans le système des Nations Unies.

Dans cette édition d’Escale nous recevons Ersilia Vaudo Scarpetta, cheffe de la diversité à l'Agence spatiale européenne (ESA) que nous avons rencontrée en marge de la réunion organisée par ONU Femmes et le Bureau des affaires spatiales de l’ONU, sur l’initiative « L’Espace pour les Femmes».

Cette initiative vise notamment à assurer que les femmes puissent participer et bénéficier des opportunités et contributions liées aux secteurs de l'espace et des « STEM » -- les sciences, les technologies, l’ingénierie et les mathématiques.

Dans Escale cette semaine, coup de projecteur sur la célébration, le 24 octobre, de la Journée des Nations Unies qui correspond au 72ème anniversaire de la création de l’Organisation mondiale. Cette année encore la commémoration de la Journée a été marquée par une série d'évènements à New York et à travers le monde. Plus spécifiquement au Siège de l’UNESCO à Paris, cinq agences des Nations Unies ont animé une journée de présentations et de rencontres sur le thème « L'avenir que nous voulons, 17 objectifs pour transformer notre monde ».

Cette semaine, Escale s’intéresse aux disparitions forcées ou involontaires. Et ce à l’occasion d’une récente réunion de la troisième Commission de l’Assemblée générale des Nations Unies qui a examiné la question au siège de l’ONU, à New York.

Pour nous en parler, Bernard Duhaime, Président du Groupe de travail sur les disparitions forcées ou involontaires, enseignant à la Faculté de Science politique et de droit de l’UQAM, l’Unité du Québec à Montréal.