Face à l'urbanisation galopante, aux défis que posent le changement climatique et aux inégalités croissantes, les Nations Unies cherche des réponses et des alliances.
Aussi l’Organisation s’est dotée du plan mondial de développement à l’horizon 2030. Il comprend 17 Objectifs de développement durable (ODD), qui visent l’amélioration de la qualité de vie, notamment dans les villes et les communautés.
Au Mali, la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) dispose d’un mandat fort et même musclé, aux dires mêmes du chef des opérations de maintien de la paix des Nations Unies, Hervé Ladsous, qui a récemment visité le pays.
A quelques semaines du renouvellement de son mandat, la Mission onusienne doit relever certains défis, notamment sécuritaire, dans un contexte où la mise en œuvre de l’Accord de paix prend du retard.
Cette semaine, Escale se penche sur l’impact des changements climatiques sur les communautés pastorales qui vivent autour du Lac Tchad.
Considéré à une époque comme l’une des plus importantes étendues d’eau douce au monde, la superficie du Lac Tchad s’est réduite de près de 90% en seulement quatre décennie.
Cette semaine Escale part à la rencontre de Junior Nzita Nsuami, auteur du livre « Si ma vie d’enfant soldat pouvait être racontée».
Ce jeune congolais témoigne et raconte comment il a été recruté de force à l’âge de 12 ans à l’Est de la RDC, par l’Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Congo (AFDL).
Aujourd’hui il travaille pour aider les enfants qui ont subi le même sort, à travers son organisation « Paix pour l’enfance ».
Il est venu à l’ONU partager son histoire et exhorter la communauté internationale à agir.
Décidés à contribuer à la résolution des crises écologiques, économiques et sociales qui accablent la planète, l’actrice Mélanie Laurent et le réalisateur et activiste Cyril Dion ont décidé de tourner et produire un film documentaire « Demain » sorti en France fin 2015, au moment de la COP21, la Conférence des Nations Unies sur le climat, qui était réunie au Bourget, non loin de Paris.
Pour ce qui est des États-Unis, le documentaire a été projeté pour la première fois au Siège des Nations Unies, à New York, fin mars, dans le cadre du mois de la Francophonie.
Cette semaine, Escale marque le 70ème anniversaire des travaux de la Cour internationale de justice, l’organe judiciaire principal des Nations Unies, avec Philippe Couvreur, le Greffier de la Cour.
Le 14 avril 2014, 276 lycéennes avaient été enlevées en pleine nuit dans le dortoir de leur école à Chibok, dans l'Etat de Borno, au nord-est du Nigéria, par le groupe Boko Haram.
Bien que 57 d'entre elles aient été en mesure d'en réchapper, le sort des 219 lycéennes toujours retenues prisonnières reste à ce jour inconnu.
Le jour du deuxième anniversaire de ce triste évènement, une vidéo prétendant montrer la «preuve de vie » de quelques-unes des filles a été diffusée sur la chaine de télévision CNN.
L’invité d’Escale cette semaine est Guillaume Ngefa, Représentant du Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme au Mali et Directeur de la Division des Nations Unies chargée des droits de l’homme dans le pays. Au micro de la Radio des Nations Unies, il revient sur l’action de l’ONU dans ces domaines grâce à la présence de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA).
Cette semaine, Escale s’intéresse au cinéma, et notamment au film « Moi Nojoom, dix ans, divorcée » réalisée par la cinéaste yéménite Khadija al-Salami.
Inspiré de l’autobiographie de Nojood Ali, qui a obtenu un divorce à l’âge de dix ans, ce film traite du douloureux problème des mariages précoces, une pratique encore très répandu au Yémen qui a aussi marqué l’enfance de la réalisatrice.
En marge de la projection de son film au Siège de l’ONU, Khadija al-Salami revient tout d’abord, dans nos studios, sur les raisons qui l’ont motivé à porter cette histoire à l’écran.
Cette semaine Escale s’intéresse au partenariat entre l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et la Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO). Un partenariat qui vise à mieux intégrer la question du genre dans les plans agricoles nationaux et régionaux.
